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Tranquillité publique, sécurité

Lutte contre la prolifération du moustique tigre

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Selon l’Agence régionale de santé (ARS), Saint-Herblain est reconnue depuis 2024, comme une commune colonisée par le moustique tigre.

Pour éviter la progression de l’Aedes albopictus, nom scientifique du moustique tigre, observez votre balcon, ou votre jardin. Éliminez les lieux de ponte des femelles en portant une attention particulière à l’eau stagnante, favorisant l’éclosion des œufs. Il est préférable de vérifier – au moins une fois par semaine – s’il ne reste pas un fond d’eau dans des arrosoirs, coupelles de fleurs, gouttières, etc. Si vous réutilisez l’eau de pluie pour l’entretien de votre extérieur, pensez à couvrir votre récupérateur de façon hermétique ou avec une moustiquaire afin que cela ne devienne pas “ un nid à moustique ”. N’hésitez pas à passer le mot autour de vous et notamment à vos voisins !

Face aux enjeux de santé publique, agir contre son installation et sa prolifération nécessite l’implication de toutes et tous, à titre individuel et à titre collectif. En effet, cette espèce de moustique peut être vectrice de maladies comme le chikungunya, la dengue, ou le zika. 

D’autres villes sont tout aussi concernées par cette problématique telles que Sainte-Luce-sur-Loire ou Saint-Nazaire qui, elles aussi, ont été déclarées colonisées par l’ARS. À terme, les 24 communes de la métropole nantaise pourraient le devenir.

 

Ici, les gestes à adopter pour se protéger du moustique tigre.

Pour plus d’informations sur les espèces nuisibles déjà bien établies sur notre territoire, consultez notre article dédié «  Lutte contre les nuisibles, que faire ? »